Hélas, les comptes sont gardés à Fontainebleau par un gendarme en retraite, qui a tout donné au juge au lieu de refuser d'ouvrir les coffres. Soyons logiques : on ne peut pas être élu avec 22 millions d'euros. La politique, c'est aussi de la communication. Nous ne pouvons pas continuer à avoir un président de la République qui n'a pas respecté les règles, et dont le Conseil constitutionnel déclare systématiquement les comptes conformes, alors qu'il voit tous les manquements du candidat arrivé deuxième. Mieux vaut fixer un plafond réaliste, par exemple à 40 millions d'euros.