J’ai entendu une litanie de contre-vérités, auxquelles je voudrais maintenant répondre sur certains points.
Effectivement, j’ai eu des doutes en présentant le premier rapport et j’ai demandé à ce que l’on sursoie à son adoption, afin que je puisse me rendre en Roumanie pour vérifier les allégations propagées par certaines associations auditionnées en commission. À cet égard, j’aurais aimé que certains de nos collègues se donnent la même peine avant de se faire l’écho de telles affirmations à la tribune d’une assemblée parlementaire !