C'est tout à fait le cas. Comme je vous l'exposais dans mon propos liminaire, nous avions prévu d'accueillir de nombreux intervenants, dont la ministre elle-même, afin qu'elle nous présente sa stratégie pour les langues vivantes. N'étant pas moi-même germaniste, je suis très sensible à la diversité des langues. Pourquoi l'allemand ? Ses enseignants ont très vivement réagi à la disparition des sections bilangues ; l'ambassadeur d'Allemagne en France a également fait part de son émotion suite à ces orientations. Au cours de notre audition, nous avons également abordé l'évolution de l'italien, de l'espagnol et de toutes les autres langues qui sont tout aussi importantes et que nous défendons. Nous aurons ainsi une série d'auditions sur ces questions.