Nous sommes d'accord avec votre position vis-à-vis de l'Allemagne, à qui l'on ne reprochera pas un manque de solidarité. C'est aussi le moment de relancer l'Europe de la défense.
Le problème israélo-palestinien est-il occulté par la crise syrienne ? Les Palestiniens attendent une prise de position de la France à l'ONU. En Syrie, qu'allons-nous laisser aux Kurdes, qui ne veulent pas être les laissés-pour-compte de l'histoire ? Les Kurdes de Turquie n'auront pas d'espace autonome, ceux d'Irak se taillent une place ; en Syrie, nous avons une bombe à retardement.
La stratégie de Poutine nous est bien connue. Qu'attendez-vous de la rencontre avec Sergueï Lavrov, que voulez-vous savoir que les Russes n'affichent pas clairement ?