La question concerne notamment les jeunes agriculteurs, qu'il faut absolument inciter à s'assurer. L'Europe, qui finance à hauteur de 55 % l'assurance-récolte, devra répondre positivement. Reste la question, majeure, de la réassurance : lorsque j'étais rapporteur de la loi d'orientation agricole, Bercy ne voulait pas en entendre parler...