Je reviens au don proprement dit. La règle veut aujourd'hui que l'on puisse prélever, sauf si un refus est exprimé. Quid de la formation du personnel médical ? Car il n'est pas facile de prélever un organe sans qu'il y ait à proprement parler consentement. Ne peut-on imaginer qu'un jour ce consentement explicite puisse être porté sur la carte vitale ou le dossier médical personnel ? Quelle est enfin votre action en matière de campagnes d'informations ? La semaine dernière, j'ai vu un reportage remarquable dans lequel un jeune homme, coutumier du don de moelle osseuse, expliquait sa démarche. Comment faire pour sensibiliser le public ?