Si vous me le permettez, madame la présidente, je réagirai aux propos de M. le président de la commission des affaires économiques.
Monsieur Lenoir, j’entends les arguments que vous avez développés. Notre intention, cher collègue, n’est pas de monopoliser un débat aussi important que celui qui porte sur l’avenir de l’agriculture française et européenne.
La procédure que nous avons choisie est parfaitement légale.