… pour des raisons évidentes, liées à la situation conjoncturelle des marchés financiers. Un délai supplémentaire – ne fût-ce que d’une journée ! – serait de nature à relativiser la portée de nos engagements. L’impact psychologique de tout aléa parlementaire ne saurait être sous-estimé.
Ma deuxième observation s’adresse plus particulièrement à nos collègues du groupe CRC-SPG. Nous les avons déjà entendu s’exprimer sur les dispositions proposées dans cette série d’amendements lors de précédents débats : je me souviens, notamment, des échanges que nous avions eus lors le l’examen du projet de loi de finances initiale pour 2010 et du premier projet de loi de finances rectificative de cette année.
Puisque nous nous sommes déjà expliqués sur le fond et qu’aucun élément nouveau pouvant conduire la commission à modifier sa position n’a surgi, je me permets d’émettre un avis globalement défavorable sur l’ensemble de ces amendements.