M. Michel Sapin, ministre. On passe beaucoup plus facilement de l’équilibre à un tout petit excédent que de 6 % à 3, 3 % de déficit. Le chemin est d’autant plus long à parcourir que la situation de départ est plus dégradée, et la nôtre l’était en comparaison de celle de pays comparables. C’est indiscutable et indubitable !