Il admettra donc que le taux des prélèvements obligatoires, qui s’élevait en 2015 à 44, 5 % du produit intérieur brut, baisse pour la première fois depuis 2009 après s’être stabilisé en 2014.
Les prélèvements obligatoires, c’est-à-dire le cumul de tous les impôts, taxes et contributions diverses et variées, ont diminué en France en 2015 et continueront à diminuer en 2016.