Ce qui fait la force de ce résultat, mesdames, messieurs les sénateurs, ce n’est pas tant d’avoir su baisser les impôts – il fallait bien le faire – que d’avoir su baisser conjointement les prélèvements obligatoires et les déficits. Faire baisser les déficits par l’augmentation des impôts, nous avons tous, à droite comme à gauche, démontré que c’était possible, mais diminuer les déficits tout en diminuant les impôts, voilà l’exercice que nous avons aujourd’hui réussi !