Madame la secrétaire d’État, je vous comprends ; je comprends aussi, et je la respecte, la volonté du Sénat de ne pas multiplier les rapports, quel que soit le sujet.
L’idée est de parvenir à la réduction de la fracture numérique au sein des territoires. À quelle échéance ? Nous avons besoin de le savoir. Certes, un rapport ne nous permettra pas toujours d’avoir accès à cette information, mais nous pourrons au moins tirer la sonnette d’alarme. En effet, bien que les raisons de cette fracture numérique soient connues, rien n’est fait pour y remédier. Ce n’est pas acceptable !
Madame la secrétaire d’État, je vous prends au mot, car nous connaissons votre franchise et votre implication en la matière ; je vais donc retirer l’amendement. Néanmoins, j’y insiste, il faut envisager un « après » dès aujourd’hui.