Je salue à mon tour l’implication de M. le rapporteur dans ces débats. Nous avons dialogué de manière constructive, en respectant nos points de vue respectifs. La discussion parlementaire au Sénat a permis d’enrichir ce texte.
Je remercie l’ensemble des rapporteurs pour avis, qui ont beaucoup travaillé. Je pense en particulier à Patrick Chaize, dont j’ai beaucoup apprécié la méthode de dialogue. Elle a permis de réelles avancées en matière de déploiement du numérique dans les territoires. Nous avons ainsi apporté la preuve qu’il était possible de s’entendre sur des sujets qui concernent l’ensemble de nos concitoyens.
Je remercie également le rapporteur pour avis Philippe Dallier de sa contribution, qui s’est révélée importante, en particulier sur les paiements par SMS des jeux en ligne et des jeux vidéo. Grâce au recul qu’il a su prendre, il a nourri les débats avec franchise !
Mes remerciements s’adressent également aux rapporteurs pour avis Bruno Sido et Colette Mélot. C’était là aussi l’ambition de ce texte : réunir des parlementaires issus de différentes commissions pour aborder l’ensemble des enjeux liés au numérique.
Madame la présidente, je me félicite de la patience dont vous avez fait preuve au cours de nos débats, qui ont pu sembler parfois techniques et un peu abscons.
Le coût d’entrée dans le numérique, dit-on, est élevé. J’espère que, grâce au Sénat, il le sera un peu moins à l’avenir, à défaut de gratuité totale. Nous travaillons à la démocratisation du numérique pour que tout le monde se saisisse pleinement de ces questions, en apparence techniques, mais en réalité très politiques.
Je remercie les fonctionnaires du Sénat, à commencer par les administrateurs des différentes commissions, notamment ceux de la commission des lois, qui ont fourni un travail intense et de très grande qualité, permettant un véritable enrichissement de ce texte. Je pense aussi aux membres de la direction de la séance. Certes, je suis peu accoutumée aux règles du débat parlementaire au Sénat. Mais j’ai un immense respect pour tous ceux qui font vivre la démocratie au sein de cet hémicycle.
Je remercie également mes collègues du Gouvernement. Vous l’ignoriez peut-être, mais ils étaient quinze derrière moi. En effet, pas moins de quinze administrations, sur un total de dix-huit – je vous laisse deviner quelles sont les trois autres