Enfin, last but not least – certes, j’avais promis de ne plus utiliser d’expression anglaise… –, je remercie mes collaborateurs, à commencer par mon directeur de cabinet, Bertrand Pailhès, et mon directeur adjoint de cabinet, Alexandre Tisserant. Tous deux n’ont pas compté leurs heures pour faire vivre ce texte. Ils l’ont porté à bout de bras. Ce sont eux les véritables hackers du Gouvernement !