Vous avez évoqué la question des perturbateurs endocriniens. On connaît la situation bloquée au niveau de l'Union européenne, mais la France peut prendre des initiatives. Envisagez-vous, d'une part, d'encourager la recherche sur cette question, alors que les chercheurs nous alertent du manque de moyens disponibles pour la recherche dans ce domaine ? D'autre part, existe-t-il des initiatives, dans ce domaine, au sein de l'Anses ou, le cas échéant, êtes-vous prêt à les lancer ?