Le développement de cette violence n’est pas lié à un manque d’effectifs et de moyens, mais à un manque de volonté politique.
Monsieur le ministre, ne croyez-vous pas qu’il est temps de mettre hors d’état de nuire ceux qui instillent la haine et le désordre dans un pays déjà meurtri et qui n’ont de cesse de dénigrer et d’attaquer les forces de l’ordre ?