Ma question s’adresse à M. le secrétaire d’État chargé des transports.
Depuis des semaines, nos compatriotes assistent, médusés, au délitement de la situation sociale dans le pays, qui, malgré l’état d’urgence, semble s’enfoncer dans la crise et dans le désordre. À côté des dégradations de lieux publics et de commerces et de l’utilisation de projectiles, voire d’explosifs, dans les manifestations, la pénurie s’installe.