Monsieur le ministre, votre réponse ne permettra ni de rassurer les maires ni de calmer leur colère. Je ne suis pas du tout certain que la technique des coups de bâton sur la tête – chacun dans cet hémicycle sait que ça fait mal – finira par faire du bien le jour où elle cessera !
Monsieur le Premier ministre, dans la vraie vie des collectivités locales, je peux vous l’assurer, ça ne va pas mieux ; au contraire, ça va beaucoup plus mal !