Il est pratiquement impossible de produire du bio en utilisant 100 % de semences bio. Des dérogations permettant l'usage, dans certaines conditions, de semences non biologiques, s'avèreront nécessaires. L'acceptation de dérogations comme la culture sur claies vaudrait également pour les produits importés. Une égalité des conditions applicables aux produits importés et aux produits européens sera strictement respectée, ce qui aura un effet positif pour la compétitivité économique des territoires ultramarins par rapport à leurs concurrents, notamment du voisinage.