La zone frontalière est sécurisée. C'est imparfait, mais mieux qu'auparavant. L'économie informelle est très présente. L'activité économique, en difficulté, n'est pas à son niveau habituel. On a peur, on ne sait pas ce qui se passe au-delà de la frontière. Il faut beaucoup de moyens. Le Royaume-Uni, les États-Unis et la France mettent en place des moyens sécuritaires plus efficaces. La Tunisie attend que le gouvernement libyen ait plus d'autorité. Il reste néanmoins l'exportation de produits agroalimentaires.