Madame la ministre, au nom de ma collègue Mme Anne-Marie Escoffier, je vous remercie de cette réponse qu’elle communiquera à toutes celles et à tous ceux qui, aujourd’hui, s’inquiètent de la situation et ont objectivement peur d’une régression. Celle-ci serait en effet difficilement acceptable pour des enfants dont la réussite au sein d’un parcours individualisé de scolarisation est clairement dépendante de la présence à leur côté des AVS.
Aussi espérons-nous beaucoup de la mise en place, en septembre 2010, d’un nouveau métier d’accompagnant.