Merci, Monsieur le président, de nous avoir présenté votre activité.
Nous partageons vos adresses au travail de l'OCDE et à Pascal Saint-Amans, que nous recevons très régulièrement.
Nous avons entendu trois grandes banques. Toutes nous ont dit que l'évasion fiscale n'était aujourd'hui plus possible grâce à leurs programmes de « rectitude fiscale » visant à vérifier la conformité de leurs clients, et à la mise en oeuvre prochaine de l'échange automatique d'informations. Partagez-vous cette vision ?
Pensez-vous que la loi FATCA, ou Foreign Account Tax Compliance Act, le dispositif unilatéral mis en place par les États-Unis, soit plus efficace que les accords OCDE ?