Je pense que les grandes banques françaises ont aujourd'hui tourné une page.
Elles considèrent que les risques juridiques et l'atteinte à leur réputation sont trop importants pour offrir des services à de grands clients, souvent non-résidents, dans des centres offshore comme le Panama.
Je pense qu'elles sont toutes déterminées à tourner cette page. On peut en trouver un indice dans le dossier des « Panama Papers » : en 2012, la Société Générale entretenait encore environ un millier de structures opaques, notamment des trusts, qu'elle avait créées, qu'elle gérait et administrait au Panama. Nous n'avons pas le chiffre actuel, Frédéric Oudéa vous l'a peut-être donné...