Je voudrais répondre à l’interpellation de Mme Assassi.
Depuis le début du mouvement contre la loi Travail, nous montrons, me semble-t-il, que le droit de manifestation est garanti – c’est évidemment très important dans toute démocratie – et qu’il l’est malgré les blocages et les dégradations.
La question qui nous est aujourd’hui posée touche à la capacité de maîtriser des actes d’une violence inouïe. Nous avons connu de nombreuses dégradations dans des centres-villes, où des artisans, des commerçants et des riverains ont clairement subi des actes de violence.