Ce débat est surréaliste. Je me trouve contraint d’interroger à nouveau le Gouvernement sur la situation actuelle : un mouvement social s’est développé –comme je l’ai déjà indiqué, je ne le juge pas –, des tensions se manifestent dans la rue et dans certaines entreprises publiques, le climat est jugé délétère par nombre de nos concitoyens.
Je ne dis pas que le Gouvernement, la CGT ou d’autres organisations sont responsables de cette situation, mais je constate que nous continuons à débattre de ce texte alors que l’on sent bien qu’il n’est pas accepté…