J’indique à M. le président de la commission, pour la bonne tenue de ses comptes, que c’est la quatrième fois que j’interviens dans ce débat…
Monsieur Longuet, si vous n’avez pas pris la parole dans cette discussion, c’est sans doute que n’avez rien à dire, ce qui n’est pas digne du grand parlementaire que vous êtes. Mais je suis persuadé que vous vous rattraperez, et j’attends avec impatience d’entendre votre éloquence se déployer !