Dans nos métiers, on ne fait pas travailler un apprenti, un jeune ou un adolescent, on lui apprend à travailler ; c’est différent. Il ne compte pas dans la production de l’entreprise, il la ralentit même, ce qui est tout à fait normal.
En réalité, dans les entreprises du secteur du bâtiment, très souvent, c’est l’employeur qui offre la première mobylette. Il faut tenir compte de la réalité et ne pas être dans l’idéologie, avec, d’un côté, le gentil qui défend les ouvriers et les apprentis et, de l’autre, le méchant qui défend des patrons. C’est une conception d’un autre siècle !