Tout d’abord, cet amendement ne réintroduit pas la notion de service public territorial de l’accès au droit.
Ensuite, si le ministère veut associer aux travaux de la DIRECCTE les partenaires sociaux, les chambres consulaires et d’autres structures, il peut le faire par décret, sans qu’il soit nécessaire d’alourdir la loi.
La commission a donc émis un avis défavorable.