Mon collègue Claude Haut, membre du Bureau comme moi, peut en effet en témoigner. Ce point a été évoqué à plusieurs reprises, mais il n'y a pas d'ouverture en vue. On se heurte à deux difficultés. En premier lieu, la commission des finances qui estime que nous n'avons qu'à désigner un seul rapporteur pour avis au lieu de deux pour qu'il ait un temps de parole de six minutes au lieu de trois, et, en second lieu, les présidents des groupes politiques qui font pression pour conserver un temps de parole plus important que les rapporteurs.