Vous avez indiqué que la ministre souhaitait laisser l'initiative au terrain. Très bien ! Les mieux placés pour connaître les inondations sont les maires. Je le sais pour en avoir vécu beaucoup dans la commune que j'ai dirigée pendant 21 ans. J'ai fini par m'apercevoir qu'elles venaient d'un ruisseau engravé. Hélas, pour le nettoyer, nous devons solliciter l'avis de la police de l'eau, qui arrive parfois trop tard. La dernière fois, on nous a interdit de nettoyer nos pièges à sédiment en raison de la présence d'écrevisses à pattes blanches. Elles doivent aller vite, car je n'en ai jamais vu ! Il faut faire davantage confiance aux maires.