Dans les zones blanches, nous ne pouvons pas faire grand-chose. Cela dit, en libérant le wifi des particuliers - box ou téléphones portables - on peut créer des réseaux. Avec l'aide d'associations comme Urgence-Télécom, nous pouvons aussi mettre en place une bulle tactique, en installant une grande antenne sur une remorque.
Nous devrions songer à créer des réseaux d'observateurs, comme il en existe pour les cours d'eau. Avec les réseaux sociaux, nous avons des yeux partout et en permanence. Il faut les utiliser. Certes, la parole d'un simple citoyen peut être jugée moins fiable que celle d'un professionnel, mais si dix personnes affirment qu'une rue est inondée, il y a peu de chances que l'information soit erronée. Et cela impliquerait nos concitoyens dans la prévention.