Monsieur le secrétaire d'État, je vous remercie de la clarté de vos propos. Puissiez-vous faire école rue Grenelle, dont le langage n'est pas toujours aussi compréhensible !
On ne peut que se réjouir de la démocratisation de l'enseignement supérieur, en essayant de ne pas tomber dans le piège de la dévalorisation. Ce qui m'inquiète, c'est le taux d'abandon au cours de la première année d'université. C'est notamment dû au fait que ce ne sont pas toujours les jeunes les mieux préparés qui entrent à l'université.
Il faut donc se réjouir des 2 000 places supplémentaires créées en BTS. Néanmoins, si des mesures d'orientation ne sont pas prises, ce ne seront pas ceux qui devraient s'y inscrire qui le feront. Quelles mesures souhaitez-vous mettre en place pour que ce soit le cas ?
Par ailleurs, on ne peut que se réjouir de la volonté de simplifier les masters. Aujourd'hui, il y a presque plus de masters que d'étudiants en master !