Les amendements identiques n° 446 et 489 visent à instaurer une obligation de vigilance pour les sociétés mères et entreprises donneuses d’ordre à l’égard de leurs filiales, sous-traitants et fournisseurs, en France et à l’étranger, en matière de risques sanitaires et environnementaux, ainsi que d’atteinte aux droits fondamentaux.
À titre personnel, je serais assez favorable à un tel dispositif, sous réserve toutefois que la réciprocité prévale.
J’utiliserai à dessein une métaphore « footballistique », puisque l’actualité s’y prête.