Je comprends la volonté des auteurs de l’amendement, mais j’en reste aux explications que j’ai données.
J’ajoute toutefois que, en l’espèce, il s’agirait d’une circonstance aggravante, qui, en droit, doit être rédigée très précisément pour être conforme à la jurisprudence du Conseil constitutionnel. Or le simple ajout de la formule « s’agissant de questions de santé publique » ne me semble pas répondre à cette exigence.
La commission émet donc un avis défavorable.