J’entends ce que vous dites, monsieur le secrétaire d'État, mais je ne peux pas m’empêcher de penser que vous vous livrez à quelques contorsions. En effet, les mesures qui restent à prendre par décret sont excessivement importantes.
Il ne faudrait pas, dans le contexte que nous connaissons, que l’arbre de la bonne organisation de l’Euro de football cache la forêt du risque terroriste, qui demeure omniprésent et permanent.