Sur ce point, je n'accepte pas le diktat du Gouvernement. Nous nous étions exprimés sur la taxation de l'huile de palme. Le premier amendement de nos collègues écologistes prévoyait un taux trop élevé. L'Assemblée est revenue à un niveau qui nous convenait, et nous avons repris son texte en deuxième lecture, non sans avoir rencontré l'ambassadeur d'Indonésie, qui nous avait fait part de son accord. Ne nous déjugeons pas ! De plus, les huiles doivent être toutes taxées de la même manière, car c'est en quelque sorte une niche fiscale. Je le dirai en séance à la ministre, qui était très partagée, je crois : la décision est venue de plus haut.