... mais, plus près de nous, au Collège de France, Mme Bettencourt finance une chaire sur l'innovation technologique, et bien évidemment pas sur les poètes du Moyen Âge ! Comment faire en sorte que le souci d'un conseil d'administration de garder ces précieux financements ne le conduise à s'autocensurer sur l'étude du risque des nanomatériaux dans les crèmes de beauté, par exemple ? Là aussi, nous attendons l'État.
Telles sont nos interrogations, madame la ministre. Nous serons attentifs à vos réponses, malgré les délais et les rythmes contraires au bon travail du Parlement que nous impose le Gouvernement.