Nous touchons ici aux limites du cadre législatif. Mme le rapporteur a raison, la liste des priorités est déjà longue. J'en tire une conclusion différente : supprimons cette liste. L'accumulation des priorités sectorielles et des situations sociales ou familiales prioritaires conduit à de graves injustices pour les personnes qui ne relèvent d'aucune de ces catégories. Nous devons être plus critiques sur le fonctionnement de la législation. En outre, il existe aussi, disons-le, des effets de complaisance.