Je vous sais gré d’avoir salué le plan que nous avons présenté ce matin, ce que n’avait pas fait votre collègue député.
Je me demande d’ailleurs, au vu des programmes des différents candidats à la primaire de la droite, comment, en réduisant la dépense publique de 100 à 150 milliards d’euros – hors budgets de l’armée, de la justice, de la gendarmerie et de la police ! –, ils comptent financer les prochaines crises auxquelles devra faire face notre agriculture.