Je reprendrai ici l'argumentation que vient de développer Gérard Cornu car, dans les secteurs ruraux tels que ceux que nous connaissons bien avec Paul Girod dans l'Aisne, les maires et les conseillers municipaux acceptent mal de payer pour que les élèves soient scolarisés dans une autre commune, alors que l'on supprime parfois une classe, voire l'école elle-même, dans leur commune.
L'amendement n° 236 rectifié ter n'est certes pas parfait, mais il permet de limiter les dépenses. C'est pourquoi je le voterai volontiers.