Je vous remercie, monsieur le ministre, d’avoir salué l’esprit progressiste qui anime nos propositions.
J’ai bien entendu votre argument sur la justice des mineurs. J’y suis sensible, comme vous toutes et tous ici. Néanmoins, nous devons réfléchir pour avancer.
Permettez-moi de vous faire part d’une anecdote. À la pause, je suis allé au bistrot du coin.