Je maintiens la position adoptée à l’Assemblée nationale, où j’avais déjà appelé à rejeter cet amendement.
Je suis attachée à la présence des associations locales au sein des commissions de médiation, où elles défendent très bien les intérêts des locataires et des personnes en difficulté.
En outre, je mets au défi le ministère de délimiter le périmètre des associations nationales de défense du droit au logement. Elles sont très nombreuses et beaucoup œuvrent dans l’insertion sociale, alors que nous connaissons aujourd’hui parfaitement les associations représentatives des locataires.
Les commissions de médiation doivent selon moi rester un outil au service de l’analyse locale, y compris pour permettre aux personnes qui ont besoin d’y avoir recours d’être mieux défendues.