Le point central de ce débat, c'est que la métropolisation ne rend pas la France heureuse. Elle ne permet pas de rassurer la majorité des Français. Seulement un cinquième d'entre eux participent à cette dynamique. Être opposé à la métropolisation n'a pas de sens. Mais au-delà des phrases, il faut objectiver la diffusion de la richesse dans le territoire. Une partie significative de l'argent public national est investie à Paris. Avez-vous des éléments de comparaison entre la part de richesse nationale produite en région parisienne et la part de richesse nationale investie en région parisienne ? Nous avons besoins d'indicateurs.
Dans la loi sur la transition énergétique et la loi NOTRe, nous avons renforcé les responsabilités des métropoles en matière de planification climatique. Avez-vous aujourd'hui un plan étayé, qui permette de réduire de 40 % les émissions de gaz à effet de serre en 2030 pour la métropole parisienne ?