Cela relève du même problème.
Les chaînes de télévision non seulement exigent de nos collectivités des investissements chaque année supérieurs, mais elles décident également, en lieu et place des fédérations et des ligues, des dates et des heures de matchs.
Cet amendement, comme le précédent, visait surtout à faire passer un message.
Nous sommes malheureusement soumis au règne des médias, et il est des moments où le Parlement doit leur dire « Stop ! », quand cela va trop loin.
Je retire l’amendement, madame la présidente.