Je me suis permis de poser cette question pour des raisons de principes d'abord et, ensuite, parce que nous avons récemment autorisé l'intervention des forces françaises en Irak et en Syrie. À l'époque, il nous a été dit qu'il n'était pas question que des interventions puissent avoir lieu en Libye. On sait les conséquences qu'elles peuvent avoir et il est donc important que, même de manière discrète, le président de notre commission soit informé de cette situation et que le Parlement ne soit pas tenu à l'écart de décisions qui peuvent avoir des conséquences politiques, militaires et diplomatiques très importantes.