La commission est défavorable à cet amendement pour deux raisons.
En premier lieu, il s'agit d'être cohérents avec la décision que nous avons prise hier de revenir à la rédaction initiale du texte présenté par le Gouvernement.
En second lieu, nous ne sommes pas favorables à la fixation d'un objectif chiffré pour l'apprentissage des langues régionales, qui serait placé sur le même plan que les objectifs prioritaires du projet de loi.