Au contraire, tout justifie de lier l’entrée en vigueur du dispositif à la présomption d’adoption de la directive !
Le risque constitutionnel évoqué à l’instant par le ministre serait avéré si le dispositif entrait en vigueur le lendemain de la publication de la loi, et non après l’adoption de la directive, que le Sénat espère, au plus tard, pour le 1er janvier 2018.