Le bilan que vous avez dressé des quatre dernières années prouve, s'il en était besoin, que les fondations sont consolidées.
Nous sommes interpellés sur le terrain au sujet des zones défavorisées. Une inquiétude très vive s'exprime à propos non seulement de la perte de l'ICHN, qui risque d'être économiquement insupportable, mais aussi des risques de déprise agricole. Monsieur le ministre, pouvons-nous placer un espoir dans les futures zones soumises à contraintes spécifiques ?