–, j’avais réfléchi à la redistribution des compétences entre les communes, la métropole et la région d’Île-de-France.
En 2008, j’avais effectivement proposé que tous les grands axes de circulation soient de la compétence régionale, tout ce qui concernait la mobilité, y compris les parkings de rabattement. Il y aurait eu une vraie cohérence et une vraie logique.
Ce que nous vous reprochons ici, c’est de regarder les choses par le petit bout de la lorgnette parisienne. Là est bien le problème !
Monsieur Assouline, le jour où les transports en commun fonctionneront merveilleusement bien, le jour où les pauvres banlieusards, même ceux qui habitent à seulement dix kilomètres des limites de la capitale, auront des moyens de transport efficaces pour venir travailler à Paris, y faire leurs courses ou – pourquoi pas ? – s’y distraire, le jour où les trains arriveront à l’heure, j’en passe et des meilleures, alors, en effet, on pourra peut-être durcir de manière plus forte les conditions de circulation.
Le problème, c’est que, de la coopération intercommunale, en général, vous, les élus de gauche, vous en avez plein la bouche, mais excusez-moi, quand vous êtes à Paris, vous prenez vos décisions tout seuls, …