… et je vous le dis en toute sincérité : le CASH ne peut pas rester dans cette situation ! Ni l’État ni la ville de Paris n’ont les moyens nécessaires pour assurer le bon entretien de ses infrastructures. De son côté, la ville de Nanterre est bloquée : ce centre occupe un terrain considérable, au cœur du quartier du Petit-Nanterre, qui a été réaménagé et qui exige encore des réhabilitations.
La situation se résume à un : « Jamais moi ! Jamais l’autre ! Je n’ai pas les moyens ! » L’État fait en sorte que le CASH ne soit pas placé dans de bonnes conditions, et que ses services restent très difficiles d’accès, ce qui pose un véritable problème pour tout le monde. La ville de Paris refuse de se dessaisir totalement de ce dossier. La commune de Nanterre voudrait agir, mais elle est bloquée : c’est une histoire de fous !
Je souhaite que le Sénat vote ces amendements. Ensuite, le Gouvernement fera ce qu’il voudra à l’Assemblée nationale. Je suis heureux de la concertation que nous annonce M. le ministre. Mais, parfois, il est nécessaire de voter des amendements pour donner un coup d’accélérateur.